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La fourrure n'est pas un signe de raffinement
Porter un vêtement fait de multiples dépouilles d'animaux, revient à promener sur soi un cimetière ambulant.
La fourrure pue. Elle est le symbole des angoisses, des cris, des souffrances de tous les animaux exploités pour leur fourrure.
Issue d'agonies et de meurtres, la fourrure reste entachée d'une tare indélébile.

POUR «BIEN SENTIR» LA FOURRURE, COINCEZ VOS DOIGTS DANS UNE PORTE DE VOITURE... ET LAISSEZ-LES PENDANT 24 HEURES l

Imaginez la douleur ... la frayeur... l'angoisse que ressentent les animaux quand l'acier froid des mâchoires mord dans leurs os.
Les piégeurs prétendent qu'en ajoutant une petite bande de caoutchouc aux mâchoires de ce piège., il deviendra plus «humain»... NE LES CROYEZ PAS !

Personne n'est à l'abri. Un piège ne fait pas la différence entre un «animal cible» et le petit chien adoré par toute la famille
Cette photo incroyable montre quelques uns des 10.000 pièges à mâchoires détruits aux Etats-Unis. Maintenant, l'interdiction des pièges à mâchoires par la Communauté Européenne pourrait en détruire des millions d'autres... mais uniquement si nous pouvons exposer au grand jour les prétendues «normes de piégeage humain».
 

LE MARTYRE DES COCHONS ET DES TRUIES

Consommer aujourd'hui de la chair animale, c'est entretenir un marché basé sur la souffrance, motivé par le seul profit. Nous dénonçons fermement les conditions d'élevage, de transport et d'abattage des animaux dits de boucherie. Les récents scandales de la vache folle ou des poulets contaminés à la dioxine ont mis la lumière sur une production qui n'est plus cohérente et qui présente un danger réel pour les consommateurs.
Tous les animaux de consommation (poissons y compris) ont leur lots de souffrance avant d'arriver dans votre assiette, mais l'espèce porcine est peut-être la plus touchée tant la douleur est présente à tous les maillons de la chaîne. On connaît bien sûr l'horreur des porcheries industrielles, on se souvient des images terribles de ces porcs battus, transportés dans des conditions ignobles en Europe et de leurs effroyables cris lorsqu'ils sont égorgés, ce que certains considèrent déjà comme partie intégrante de notre folklore rural. Avant même de subir toutes ces cruautés, ce pauvre animal est mutilé pour que sa viande soit appréciée des palais les plus «délicats». Le jeune porc mâle est en effet systématiquement castré, incisé en profondeur, sans anesthésie bien sûr, tailladé ça et là, le tout le plus vite possible pour garder un bon rendement.
La commission européenne émue par la souffrance du cochon
II est aujourd'hui reconnu que ces actes provoquent une souffrance insoutenable pour l'animal. Le Dr Robert Dantzer, Directeur de recherches à l'Inserm, a constaté que : «pendant plusieurs jours après leur castration, les porcelets passent moins de temps à jouer, restent couchés, changent souvent de position, agitent la queue, autant de manifestations laissant penser qu 'ils souffrent».
Cette pratique n'est pas répandue dans tous les pays d'Europe, en Angleterre, par exemple, les porcs ne sont pas castrés mais une étude effectuée dans sept pays européens (Allemagne, Danemark, Espagne, France, Grande Bretagne, Pays-Bas et Suède) fait ressortir que, précisément, seuls les Anglais ne sont pas incommodés par la consommation de cette viande au goût plus prononcé.
Il n'y a pas de solution miracle pour mettre un terme à toutes ces cruautés ou plutôt si, il y en a une, il faut arrêter de consommer toute viande car c'est la seule façon de venir en aide à ces millions d'animaux victimes d'une industrie inhumaine et dangereuse. C'est aussi le meilleur moyen de retrouver une alimentation saine et équilibrée.
 
La «stérilisation» des truies sans anesthésie
Dès 1996, la PMAF révèle une pratique incroyablement barbare, mais courante, sur les marchés porcins. Un reportage réalisé à Trie-sur-Baïse près de Tarbes, montrait une femme exécuter les opérations sans aucune règle d'hygiène.
La truie est immobilisée sur une table métallique, puis à l'aide d'un scalpel on lui fait une entaille dans le corps qui coupe ses muscles abdominaux. Le femme introduit alors une pince dans le corps et cherche avec ses doigts les ovaires, une fois localisés, elle tire dessus pour les dégager.
Le tout sans anesthésie.
 

LE SCANDALE DES LEVRIERS EN ESPAGNE

Les hurlements des Greyhounds au fond des bois !
En Espagne, dans la région de Castilla y Léon, les traditions sont bien ancrées. En effet, à Médina del Campo, non loin de Valladolid, les habitants pratiquent encore la chasse aux lièvres avec leurs lévriers. Ces derniers, des Greyhounds, sont aussi utilisés pour les courses durant lesquelles d'énormes sommes d'argent sont mises enjeu.
Malheureusement, une fois qu'il a rendu service à son propriétaire, le sort réservé à ce chien, autrefois l'apanage des rois, est à peine soutenable.

On pend les chiens aux arbres pour s'en débarrasser !

Suspendu à un arbre avec les pattes arrières appuyées au sol, l'animal met plus d'une semaine à mourir. Et pour économiser du matériel, mais non du sadisme, on peut pendre à une même corde deux chiens ou plus qui finissent par s'entretuer à coups de dents. Et c'est ainsi depuis le QUICHOTTE ou CERVANTES parle d'exécution de lévriers.

Des images comme celle qui illustre ce reportage ont déjà produit leurs effets en Europe. Aux manifestations face aux ambassades d' Espagne à Rome ou Paris, se joignent les milliers, peut-être des centaines de milliers de lettres adressées aux autorités espagnoles pour protester contre l'injustifiable cruauté avec laquelle les éleveurs de lévriers s'acharnent contre leurs chiens. «A notre grande honte les images de chiens pendus, brûlés décapités et les pires traitements ont fait le tour du monde» se lamente Christine GARCIA vice-présidente de l'Association Protectrice des Animaux, des Plantes et de l'Environnement.

Les chiens de Mayotte

Beaucoup de Français de la Métropole adoptent des chiots pour leur tenir compagnie ou garder leurs maisons pendant leurs séjours à Mayotte. Beaucoup, hélas, les abandonnent lorsqu'ils quittent l'île.

C'est ce qui est arrivé à ce Briard. Il a erré pendant des mois, mourant de faim, à bout de force, en butte à tous les sévices, jusqu'à ce qu'un artisan local le charge dans sa camionnette pour le conduire chez le vétérinaire, qui n'a pu le sauver.
Quel désespoir dans
cet oeil qui vous
implore, au nom de
tous les chiens
abandonnés de
Mayotte!