CULTURE DES CELLULES, LEUR SECURITE
Ces méthodes laissent loin derrière, les empiriques approximations de
l'expérimentation animale. En effet, les cellules et tissus prélevés sur un
organisme humain, cultivés ensuite pour se développer à température constante,
reproduisent les fonctions exactes de cet organe. Il sont capables de révéler
des lois métaboliques inattendues, et de montrer combien les conditions de
développement peuvent modifier les fonctions cellulaires, ainsi que la formation
du virus.
Contrairement à certains organismes animaux, tels ceux des singes
arrachés aux forêts sauvages, ils sont exempts de toute contamination.
L'INUTILE
EXPERIMENTATION ANIMALE
Exemple : le Professeur R. WRITE de l'Université de
Cleveland (Ohio) coupait la tête d'un singe et la maintenait en vie. La tête
voyait, sentait, mordait une banane, et souffrait. Une tête a survécu quelques
semaines (Animal Natural). «Le San Francisco Chronical» dit que les
transplantations de tête et de cerveau ne seront jamais autorisées chez
l'homme... (mais cet article est ancien, 1973)
SELON UN PROFESSEUR : Un professeur de la Sorbonne écrivait un jour :
«L'expérimentation sur l'animal, pour le bien de l'homme, est un devoir».
Il fallut lui rappeler les innombrables catastrophes pharmacologiques dues à
l'extrapolation des résultats obtenus sur les animaux à l'homme :
- telles les
12.000 naissances de bébés-phocomèles dues à la Thalidomide
- les 20.000
paralysés ou cécités dus au Clioquinol
- que 160.000 femmes doivent le cancer du
vagin au Distilbène
- que les premiers vaccins contre la poliomyélite, issus des
reins de singes, étaient cancérigènes
- que la découverte de la circulation du
sang, que revendiquent les vivisecteurs, a été faite par le médecin anglais
Harvey, grâce à un cadavre de pendu, après observation des valvules et injection
d'eau sous pression dans les cavités cardiaques
- que l'illustre Cl. Bernard,
aveuglément hissé sur le piédestal de la gloire, après avoir arraché le pancréas
(sans anesthésie) à des centaines de chiens, ne découvrit jamais le rôle de cet
organe dans la genèse du diabète
- que le Sida est, en réalité, la conséquence
d'expérimentation sur des singes.
OPINIONS DE SAVANTS ANTI-VIVISECTIONNISTES
II est dangereux d'appliquer à l'homme les résultats obtenus sur des animaux
sains placés en conditions anormales dans les laboratoires.
Comme bien d'autres de mes confrères, je suis d'avis que la profession doit
insister sur la méthode clinique, en laissant le vivisecteur errer pour son
propre compte dans le désert qu'il a lui-même créé. (
Dr James Burnet, célèbre
médecin anglais de l'Université d'Aberdeeu)
Le Professeur Johannès Ude a écrit dans «Tier Als Teil der Schoepfung» :
Ceux
qui, comme moi, connaissent à fond l'horrible chapitre de la vivisection, me
donneront raison quand j'affirme que le vivisecteur est, ou bien un individu
moralement sous-développé à tendances pathologiques, ou bien s'il est normal, un
criminel.
Dans le premier cas, il faudrait l'enfermer dans un asile
psychiatrique, dans le second en prison.
Cancer - Le Dr Harold Okens, Professeur à l'Université de Copenhague, déclare
qu'il n'y a pas d'arguments valides pour justifier les expériences scientifiques
sur les chiens. Il a interdit catégoriquement ces expériences à l'Institut qu'il
dirige, étant d'avis que ce sera un grand avantage si de telles expériences sont
interdites par la loi. (Dog's Bulletin)
La recherche, intense entreprise au dernier quart de siècle, a compliqué le
problème au lieu de le simplifier.
(Laucet)
La médecine du présent est au bout de son chemin. Elle ne peut pas être
transformée, modifiée, rajustée. On ne l'a que trop tenté. Elle doit mourir puis
renaître, personne n'a le courage d'aller jusqu'aux idées plus claires.
(Professeur M. Delon)
La soi-disant «recherche» sur le cancer est devenue une grosse affaire. Il ne
faut guère ni d'habileté ni d'intelligence pour répandre du goudron sur des
souris pendant des années et des années, et il se trouve des gens qui
considèrent qu'il s'agit là d'une façon comme une autre de joindre les deux
bouts».
(M. Beddow Baily, chirurgien et historien, dans «Facts about Cancer»).
Les expériences sur animaux sont faites pour des raisons légales et non pour
des raisons scientifiques. Cela veut dire qu'elles ne servent aux fabricants que
comme base légale pour vendre leurs produits, car la loi impose ces expériences
qui n'ont aucune justification scientifique.
Il n'existe aucune base logique pour transférer à l'homme les résultats
obtenus avec des animaux
(Dr Goldberg de l'Institut Karolinska de Stockholm,
dans «Quantitative Method in Human Pharmacology»).
Cancer : II est impossible d'appliquer à l'espèce humaine des
informations expérimentales obtenues en provoquant le cancer chez des animaux
(Dr Kenneth Star, dans «Sydney Morning Herald»).
La médecine officielle ignore encore les signes avant-coureurs de sa ruine,
mais elle est déjà envahie par un courant qui retrouve la profonde inspiration
hippocratique
(Pr. Machielli, agrégé de l'Université Française, Paris, dans «La
caractériologie à l'âge scientifique»).
La vivisection se trouve condamnée sur la base de trois accusations
principales : inutilité pour l'homme, cruauté à l'égard des animaux, entrave au
progrès vers la véritable science (Dr Beddou-Baily, dans «More Spotlights on
vivisections»).
Les articles du Dr Gustave MATHIEU.
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