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L'EXPERIMENTATION ANIMALE LA TACHE D'HUILE

L'homme accepte facilement l'expérimentation sur les animaux, car il croit qu'elle apporte solution à ses maux. Or, on a constaté que les résultats obtenus sur les animaux, extrapolés à l'homme, n'étaient pas fiables. D'autre part, on sait que le manque de respect de la vie chez l'animal engendre absolument le manque de respect de la vie chez l'homme.
Ainsi, Claude Bernard faisait cuire des chiens dans des fours. Cette mode sévit ensuite dans tous les laboratoires de la planète.
Le professeur Delgado déclenchait, par électrodes placées dans le cerveau d'un singe, une suite d'actions 20000 fois répétées.
On mutile des animaux, on les rend artificiellement syphilitiques, mongoliens, monstrueux, ainsi on leur donne des maladies humaines qu'ils n'ont pas.
Cela va très loin : Haldane voulait rechercher un médicament ressemblant à la thalidomide, afin de faire naître des enfants anormaux sans jambes, ceci afin d'avoir des astronautes moins lourds dont les besoins en nourriture et oxygène seraient réduits (Référence : «L'homme et l'adaptation au milieu» par le Professeur R. Dubos, éditions Payot) - SANS LIMITES.

En fait, non seulement l'expérimentation animale ne protège pas l'homme, elle le menace.

EXPERIMENTATION

L'animal n'est pas transposable à l'homme et les chercheurs le savent.
Les réactions et surtout son métabolisme sont différents. Le lapin peut ingérer la belladone et l'amanite phalloïde sans dommage pour lui. Les rats mettent au monde des bébés monstres s'ils absorbent de l'aspirine et de l'insuline. La morphine, qui calme l'homme, excite le chat et le rat. Le persil tue le perroquet. Les cancers provoqués chez les animaux n'ont rien de commun avec ceux développés chez l'homme. On inflige à l'animal des maladies provoquées exprès, la maladie n'est donc jamais reproduite exactement.
L'expérimentation animale est anti-scientifique. On torture pour voir. C'est ce que disait Cl. Bernard (le plus féroce vivisecteur) à ses étudiants (c'est lui qui vivisectait dans sa salle à manger). Il disait aussi : «Expérimentez d'abord, vous réfléchirez après», ce qui est peu intelligent et méprisant.
Les animaux ne sont pas anesthésiés. 13% le sont pour des raisons de commodité. L'anesthé-sie n'est pas souvent employée pour des raisons d'économie et elle est impossible pour les expérimentations qui durent plusieurs jours, des semaines, voire des années et pour les essais de toxicité.

LA VERITE SUR LA VIVISECTION

Plusieurs centaines de médecins ont eu le courage de dire la vérité : la vivisection n'est pas pratiquée pour des raisons scientifiques, mais uniquement pour des questions d'argent. C'est pour toucher des subventions et faire fonctionner des services que certains «professeurs» COMMETTENT ces atrocités.

Elle devrait être abolie depuis longtemps.

Les précurseurs : Victor Hugo créa, en France, la première ligue contre la vivisection. La deuxième fut créée par la femme et la fille de Cl. Bernard. Mr Jean Duranton de Magny, créa la troisième avec B. Laure.

Nous avons pris la suite de ces précurseurs. Etaient également contre : Wagner, Gandhi, Goethe, la reine Victoria, B. Shaw, R. Rolland, etc...

Il existe aussi la Ligue Internationale des Médecins pour l'Abolition de la Vivisection.

Nous sommes tous contre toute expérimentation sur l'animal pour des raisons éthiques, morales, humaines, philosophiques, religieuses, mais surtout scientifiques. Quand on expérimente sur un animal, comment peut-on savoir de quelle manière va réagir l'homme... qui donne seul le résultat final. «Il n'y a pas de modèle animal».

VIVISECTION=ABERRATION INTELLECTUELLE

L'animal ne fait pas l'homme... et inversement !
Et certaines herbes inoffensives pour l'homme peuvent devenir des poisons violents (et parfois mortels) pour nos animaux domestiques.
Et très justement, le Professeur FALIU, spécialiste en Toxicologie animale de l'Ecole Vétérinaire de Toulouse, rappelle que certaines plantes vertes d'appartement, telle la Dieffenbachia ou le Poinsettia peuvent provoquer en quelques heures la mort après des souffrances intenses, la sève peut entraîner des ulcérations de la cornée et le simple léchage de feuilles entraîner un œdème du pharynx, voire un blocage rénal avec urémie sévère notamment chez le chat.
L'oignon, plante consacrée à Osiris en Egypte antique et couronnée de tous les bienfaits pour l'homme, entraîne, par le disulfure d'allylopropyle qu'il contient, des troubles gastro-intestinaux graves... au point de tuer un petit chien de style Yorshire.
De même, pratiquement toutes les plantes à bulbes sont de grands dangers pour les petits chiots ou chatons, car les bulbes roulent entre les pattes, et le mordillement peut entraîner des vomissements, des troubles cardiaques par les alcaloïdes qu'ils contiennent (tulipe en particulier), jusqu'à entraîner la mort.
De même, le persil, aliment à forte concentration de calcium, vitamine C et anticancérigène puissant chez l'homme, devient, par l'huile essentielle qu'il contient (l'apiol), un poison mortel autant pour un perroquet que pour le chat.
Savez-vous, par exemple, que de simples pommes de terre germées (par la solanine qu'elles contiennent), peuvent entraîner des vomissements, des diarrhées incoercibles chez votre chien (même de grosse taille) ?
Des feuilles de laurier rosé mâchonnées par votre chien, peuvent plonger celui-ci dans un coma profond, comme celles de l'arum ou du muguet, avec des hémorragies gastro-intestinales du fait des hétérosides que ces plantes contiennent.
Les exemples sont légion : et bien, que ces faits fondamentaux soient parfaitement connus de tous les médecins (toxicologues en particulier), l'intégrisme de la recherche médicale continue de prôner les bienfaits de la vivisection !
Aberration intellectuelle... ou aliénation intellectuelle ??

Le pavillon des cancéreux
Des études alarmantes

Le pavillon des cancéreux n'est pas près de désemplir.
Toutes les études indiquent clairement que la plupart des cancers sont en très forte augmentation (rapport de l'O.M.S.). Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, 100000 substances chimiques ont été mises sur le marché.
A peine 3000 d'entr'elles n'ont jamais été sérieusement testées. Elles ont été testées sur l'animal (test DLJO). On connaît leur nocivité sur la souris mais pas sur l'homme.
Il est temps de voir les limites de l'expérimentation animale. Il faut s'engager sur une autre voie.
Des scientifiques proposent actuellement un programme de toxicologie moléculaire opérationnel et performant. Nous sommes à leur côté.
Nous estimons que les substances chimiques et la pollution sont responsables de 100000 à 120000 nouveaux cas de cancer tous les ans.
Réagissons au plus vite si nous ne voulons pas nous retrouver au pavillon des cancéreux.