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LA GRIPPE AVIAIRE?..UN NOUVEAU CRIME CONTRE LA GENTE ANIMALE
par le Docteur Gustave MATHIEU

L'Asie toute entière est en émoi depuis plusieurs mois., et la «grippe du poulet» ne cesse de faire de nouvelles victimes, tant chez l'être humain que chez les volailles... mais en s'étant également propagée à une autre espèce animale : le porc !
Début février 2004, on comptait déjà dix-huit victimes humaines de cette nouvelle forme d'épidémie, affolant tout le monde médical, et dont l'O.M.S. bat tambour pour que soit interdite la consommation de viande de volaille en provenance du continent asiatique.

Comment une telle aberration vétérinaire a-t-elle pu voir le jour ? Tout simplement par les mêmes aliénations de l'esprit qui ont permis de donner le jour à «l'E.S.B.» (encéphalite spongiforme bovine) ; c'est à dire par l'usage de farines animales dans l'alimentation des animaux concernés !

La leçon de la maladie de la « vache folle » n'aura donc servi à rien, pas même à réveiller les petites cellules grises des responsables vétérinaires des grandes organisations internationales telles que la «F.A.O.» (Food and Agriculture Organisation) ; organisme dépendant pourtant des Nations Unies.

Quand nos pseudo-experts internationaux, raisonneront-ils sainement pour comprendre ce qu'un cerveau d'un enfant de trois ans, normalement constitué, comprendrait
tout de suite ? A savoir qu'on ne peut impunément transiger avec les lois naturelles que notre Créateur à mises en place, et qui nous régissent.
 
Les volailles ne peuvent impunément consommer des farines animales pour se nourrir... même si entre leurs céréales favorites elles ne dédaignent pas manger en guise de dessert, quelques vers de terre., bien vivants !

Et, comme l'homme est à se point stupide pour pouvoir oublier les préceptes de Dame Nature, et suffisamment perfide pour faire taire sa conscience au profit du gonflement de son compte en banque, l'on assiste à l'explosion de désastres toujours plus nombreux, toujours plus violents, aux conséquences toujours plus incalculables.
 
Et comme l'horreur ne se suffit pas à elle-même, la cruauté humaine y rajoute son couplet abjecte en brûlant vivants les poulets sans avoir pris préalablement soin de les euthanasier !

Que dire également du fait que lorsque le responsable de la F.A.O. au Vietnam, assure
«... avoir des preuves de la présence du virus «H5N1 » dans les sécrétions nasales prélevées sur des porcs dans la région de Hanoi» (ce qui augmenterait considérablement le risque d'extension épidémique de l'épizootie)... il se trouve aussitôt démenti par sa hiérarchie au siège américain dudit organisme.

S'avance-t-on, une fois de plus, vers un consensus du silence imposé par les pseudo-experts en manipulations de tous genres ?

Quand cessera donc la prévalence des profits sordides sur l'intérêt général ?
La «loi du silence» s'est effectivement imposée dans le sud-est asiatique quant à l'extension dramatique de la grippe aviaire... au point que l'on vient simplement d'apprendre le dimanche 7 mars 2004, aux actualités télévisées, que depuis longtemps le Japon était également atteint par cette endémie touchant les volatiles depuis plusieurs semaines... Et la conséquence de cette loi du silence imposée par les autorités sanitaires nippones quant au risque d'extension de cette maladie à toute la péninsule japonaise, font qu'aujourd'hui pour tenter d'endiguer l'extension de la grippe du poulet, c'est la mobilisation de plusieurs dizaines de milliers de soldats de l'armée régulière, à Kyoto où se situe le plus grand foyer de propagation, qui sont aujourd'hui mobilisés pour faire face au fléau et tenter d'éradiquer le virus responsable de cette hécatombe !

Pour le Japon, il s'agit «d'une crise alimentaire sans précédent», et l'on ne trouve plus sur les marchés ni volailles, ni neufs... et on découvre donc brutalement que ce pays est bien plus atteint que la Chine par l'épizootie aviaire...

La situation actuelle, aussi dramatique soit-elle, n'est que la triste illustration des effets délétères d'une société moderne qui n'a d'autre but éthique que de tirer le maximum de profit immédiat de toute situation qui se présente à elle. Et c'est toujours le même scénario catastrophe qui se déroule devant nos yeux, et l'homme démontre à chaque fois son impuissance totale à maîtriser ce qu'il a créé... et encore plus à enrayer les monstres générés.

Et c'est évidemment la gente animale qui est la première victime des turpitudes humaines, en payant chaque fois un trop lourd tribut à la folie des hommes.

Et pour cet «Homme» qui se croit d'une essence supérieure dans le kaléidoscope de la Création, il ne recevra que «la monnaie de sa pièce» puisque, faute de savoir arrêter à temps sa folie destructrice, il subira très exactement le même sort que celui qu'il a fait subir à «Dame Nature» et à ce que notre planète nourricière aura subi de sa main !